• Emmitouflée dans ma lourde et chaude couverture, je dors d'un sommeil léger. Soudain, un cauchemar m’étreins et je me réveille aussitôt, affolée et désorientée, avant de reprendre entièrement conscience de la pièce dans laquelle je me trouvé actuellement. Mon regard se dirigea à droite, puis à gauche, au rythme du son de l'immense pendule qui surplomber ma chambre. Avec la gorge asséchée et l'estomac noué, je descendis de mon nuage de douceur afin d'atteindre la porte, actionner la poignée et sortir de mon antre. La porte se referma dans un grincement digne des plus grand film d'horreur. J'avance à tâtons dans un sombre couloir, garnie de tableau représentant les membres de ma famille, de génération en génération. Un jour, peut-être dans quelques années, j'aurai aussi le droit d'apparaître sur ce gigantesque mur, au côté de mes ancêtres. Je continua de longer lentement ce long couloir où je me sentais oppresser par tous ces regards. Je continua à avancer pas à pas jusqu'à arriver dans une salle dont le sol était recouvert d'un ancien carrelage de l'époque victorienne et dont les murs étaient de couleur blanche, devenu beige avec le temps. C'étais la cuisine. La pluie battaient le carreau tandis que les volés claquaient et que l'orage battaient son plein. Par miracle, je réussi à trouver l'interrupteur et l'actionna mais cependant, rien ne se passa. Ce sont les éclairs qui vinrent baigner la pièce de lumière. Je m’avance, cette fois-ci plus rapidement, en direction de levier pour de me servir un grand verre d'eau bien fraîche afin d'étancher ma soif. Soudain, mon cœur loupa un battement et mon sang ne fît qu'un tour, la porte de la cuisine venait de se claquer, pourtant, il n'y avait pas de courant d'air. Un frisson me traversa l'échine et des gouttes de sueurs glissèrent le long de ma clavicule. Un mal être me saisit et ma vue se troubla. Je dus me retenir sur le rebord de l'évier pour ne pas tomber au sol. Mon cœur battait la chamade. Le verre, que je tenais un peu plus tôt, vînt quand à lui s'écraser sur le carrelage et se brisa en milles morceaux. Par manque de chance, je me coupa accidentellement la main gauche avec l'un des morceaux de verre. Un liquide rouge vînt colorier le sol. Je me releva rapidement et me rendis vers la salle de bain. Ces long couloirs me parurent interminables... Enfin arrivée devant la salle qui pourra m'accorder les soins nécessaire à ma pauvre main meurtrit, j'y pénétra lentement. Mes parents ayant oublier de changer l'ampoule, laissa la pièce baignait dans l'obscurité et seul la lumière des éclairs éclairés celle-ci. Soudain, la porte se referma violemment, m'emprisonnant dans ce que j'aurai nommé maintenant « la pièce de l'angoisse ». Je me précipita à la porte et actionna la poignée mais cependant, la porte demeura close. Je tenta désespéramment d'appeler mes parents mais, le plus étrange, c'est qu'aucun son ne sortit de ma bouche. J'étais terrorisée. Mon regard se plongea par la suite dans le miroir. Puis quelque chose vint effleurer ma joue, quelque chose de froid. Je fixa le miroir avec effroi lorsque je vis CE visage, oui CE visage qui hantait mes songes, CE visage pâle coiffé de court cheveux noirs frisés, ornés d'une rose noir, CE visage aux yeux bleues océan et aux lèvres d'un rouge profond, CE visage taché de sang... Elle me fixait d'un air calme, comme ci ma présence lui importait peu. Puis le visage disparu aussi vite qu'il était apparu. Inconsciemment, je me retourna et fis face à la jeune femme du miroir. Possédant une arme très aiguisée à la main, elle m'entailla légèrement la joue puis lécha avec gourmandise la lame de l'objet ensanglanté. Puis elle se mit à hurler, un cri qui me déchira les tapants avant de se stoppait nette et de me fixait d'un air absent. Puis soudain, elle me murmura une chose qui me laissa clouée sur place, juste avant de disparaître : « prépare toi, je viendrai te hanter jusqu'à ce que mort s'en suive, jusqu'à ce que ton péché soit laver... »

    Je ne compris cette phrase que plus tard, lorsque mon corps fût retrouver 1 semaine plus tard au fond d'un gouffre. Mon péché ? Etre née.

    Note d'auteur:

    Bonsoir les amateurs de l'horreur, je suis navrée de ne pas avoir fais attention aux fautes d'orthographes ( si il y en a bien sur ^^') et je vous souhaite une agréable nuit de frisson.

    Alors mauvaise nuit et faite de beaux cauchemars! 


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